Accueil  |  Biographie  |  Galerie Livre d'or  |  Liens   
     
Discographie  
Musique
La bonne vibe
Cogitophrénie
Vidéo
DVD Live
Concerts
Archives
Médias
Les radios

Album "Cogitophrénie"

Nouvel album (avril 2005)

Commander

 

Sortie nationale
le 16 avril 2005

Inclus "P'tit bonhomme" featuring TYRONE DOWNIE
(THE WAILERS)


     
01 - Cogitophrénie  
5'34
02 - P'tit bonhomme  
4'47    (feat. Tyrone Downie)
03 - Pas d'âme  
4'32
04 - Bla (bla bla)  
5'09   (feat. Xaman'Ek)
05 - A Free K.  
2'53
06 - Culture paillasse  
5'01
07 - DJ superstar  
3'56
08 - Rastaman  
5'05
09 - Blue note dans l'univers  
3'21
10 - Réalitélé  
4'58
11 - La galère  
5'52
12 - Réveillons-nous (live)  
6'12

RASTAMAN

Nous, little white men, qui jouons le reggae
Nous n’avons pas connu les destins exilés
C’est de la compassion pour les âmes oppressées
Que naît l’inspiration dans nos cœurs indignés

Le cri de la révolte, on le pousse en musique
On vide notre sac au tempo de la Jamaïque
D’aucune religion, ni parti politique
Nous joignons nos refrains aux échos de l’Afrique

Voici venir le rastaman
Il vient de loin pour nous parler de paix
Il dit : « Que tu sois ou non ganjaman,
Vois tout l’amour que la terre t’a porté ! »
Il pleure, il prie, rastaman
Il s’étonne de la vie à Babylone
I and I, rastaman
Le message est passé
Respect Jah people
Rastaman, I and I, rastaman

Nous, little white men, qui jouons le reggae
N’avons pas la prétention de tout réinventer
Mais tout juste l’espoir d’un peu contribuer
A guérir les blessures des colombes bafouées

Nous n’voulons pas subir l’oppression du silence
La liberté d’expression est notre unique chance
Vous tous qui entendez, voyez les manigances
De ceux qui nous gouvernent, voyez leur décadence

Voici venir le rastaman
Il vient de loin pour nous parler de paix
Il dit : « Que tu sois ou non ganjaman,
Vois tout l’amour que la terre t’a porté ! »
Il chante, il prie, rastaman
Il s’étonne de la vie à Babylone
I and I, rastaman
Le message est passé
Respect Jah people
Rastaman, I and I, rastaman

La détresse de ceux qui sont au bout du monde
Résonne sous les cieux et sur nos cœurs, retombe
De l’infini désert, nous ressentons leurs ondes
Et nos villes hautaines, dans le néant, les fondent


C’est pourquoi aujourd’hui, nous chantons le reggae
Pour déchirer le voile d’une saccade aiguisée
Nous scandons nos angoisses face à la société
Car ce système, en somme, nous a tous éloignés